• Qu'est qu'une déduction?

     

    C'est un raisonnement par lequel on va d’une connaissance plus universelle à une connaissance plus particulière

     

    Exemple :

                     Tout les corps sont subissent la pesanteur

                     L'être humain est un corps.

                     Donc l'être humain subit la pesanteur.

     

    Qu'est-ce qu'une induction?

     

    Un raisonnement qui passe des singuliers ou d'une énumération de cas particuliers semblables à une conclusion plus universelle. 

     

    Exemple :

                    Margaux a un téléphone, Kevin a un téléphone, Louise a un téléphone

                    Margaux, Kevin et Louise constituent une famille nommée "Lefevbre"

                    Donc les Lefevbre ont tous un téléphone.

     

    Qu'est-ce qu'un syllogisme? 

    «Syllogisme» est un terme inventé par Aristote. Il signifie colliger, comparer, mettre ensemble des connaissances déjà possédées afin d'en tirer de nouvelles. Suivant un raisonnement logique.

    Le syllogisme met en lien trois propositions :

    Une prémisse majeure, une prémisse mineure et une conclusion.

    Le syllogisme est une forme de déduction.

    Exemple de syllogisme très connu : 

                            Tous les hommes sont mortels. (majeure)

                            Or Socrate est un homme. (mineure)

                            Donc, Socrate est mortel. (Conclusion)

     

    Qu'est-ce qu'une maxime? 

    La maxime est un proverbe qui constitue une vérité général ou un conseil qui résulte d'une expérience.

     

    Exemple : à chaque problème, une solution.

     


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  • Comment faire un bon discours rhétorique? 

     

    Pour mettre en oeuvre votre discours, peu importe son style, il faut : 

    - être organisé 

    - garder une ligne solide 

    - être percutant et pertinent et compréhensible

     

    I - Organiser votre discours

    Bien s'organiser est primordial pour préparer votre discours, amorcer vos arguments, désamorcer possiblement ceux du camp adverse, et conclure en beauté.

    La préparation doit regrouper vos idées, vos arguments, vos exemples, vos cas de figure, vos jurisprudence (juridiquement) ou encore une problématique.

    Votre corps sera la partie la plus percutante, il faut donc des arguments censés qui servent de preuve.

    Il y a trois types de preuves : 

    Logiques : déduction, induction, syllogisme, maxime, cas de figure.

    Subjective : morale, éthique, traditionnelle, 

    Amplification : interrogation (rhétorique ou non), atténuation.

    EXERCICE PREMIER.

    Rappelez vous : votre discours doit être concis et organisé.

     

    Il faut toucher le public visé, vous ne vous adresserez pas de la même manière à un notaire, un juge, un magistrat, comme vous vous adresserez à un citoyen lambda ou un écrivain.

    Il faut donc adapter son langage suivant l'ordre suivant : 

    Pauvre : devant être clair, concis, allant au but avec des mots simples à comprendre sans toutefois bâcler votre discours.

    Neutre : se situer entre les mots pauvres, des mots riches. 

    Riche : utilisant de nombreuses figure de style, de rhétorique, de théâtralisation et de raisonnement.

     

    La conclusion doit résumer la pensée générale, et l'idée soulevée lors de votre discours ainsi que la réponse que vous apportez à une éventuelle problématique. Rappeler ses idées permet de jouer sur la mémoire de votre interlocuteur et mieux le soumettre à votre thèse.

     

    II - Rendre son discours original

    Vos qualités de discours ne seront presque rien sans être un bon orateur. Si le camp adverse est bien préparé, bien structuré, vous serez en bataille pour deux logiques/point de vue différent. A ce moment là, pour sortir de cette vague, pour se démarquer d'une qualité supérieure il existe une solution : vivre son texte.

    Comment vivre son texte? Il faut d'abord y croire et croire en vous. Ayant confiance en votre parole. Vivez vos phrases par intonation, alterner la forte voix quand vous vous révoltez ou vous vous indignez, parler plus calmement et doucement quand c'est mélancolique. 

    N'hésitez pas à user de vos bras, ressentez vos paroles, pointer du doigt ou tenez votre texte fermement, serrer le poing, mais ne surtout pas rester les bras croisés.

    Cela va rendre votre discours plaisant, vivant. Vous allez au delà de convaincre par les mots, vous allez convaincre par les gestes. 

     


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  • Introduction : 

    Qu'est-ce que la rhétorique? 

     

    Art de parler sur quelque sujet que ce soit avec éloquence et avec force : c'est à dire l'art de s'exprimer, de parler, de convaincre.

    Cette coutume a d'abord été inventé des grecques. S'emprunte à toute formes de discours.

     

    I - Catégorie de la rhétorique 

     

    Il est dit de la rhétorique trois objectifs de celle ci : 

    Docere : Instruire, informer.

    Movere : émouvoir 

    Delectare : plaire, charmer

     

    Il y a aussi par conséquent différents procédés argumentatifs : 

    La démonstration qui vise à convaincre. Il touche le vrai, par des preuves universelles scientifiques indiscutable de type logique ou scientifique.

    L'argumentation qui vise aussi à convaincre, mais d'adresser à l'interlocuteur. Donc en débat (polémique) il vise à porter un raisonnement afin de toucher le vraisemblable.

    La persuasion qui souhaite obtenir l'adhésion de l'auditoire. Utilisé dans les publicités commerciales, pour plaire à l'interlocuteur.

     

    II - Les genres de la rhétorique 

     

    Le genre judiciaire : devant un auditoire, pour défendre un accusé dans un tribunal en plusieurs parties : 

    exorde - delectare : éveiller la bienveillance.

    narration - docere : informer le tribunal.

    preuve - docere : s'agit de prouver ce qui est dit 

    réfutation - docere : destruction des arguments du parti opposé 

    conclusion - movere - Doit conclure en émouvant le public.

    Le genre délibératif : pour convaincre ou dissuader d'une décision à prendre cherche à jouer sur le sentiment de son interlocuteur

    Le genre démonstratif :  pour blâmer ou louer un individu sur une action. Amplification... journaux utilises pour adhérer à une valeur commune.


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  • - La nuit, l'arbre que l'on grimpait ce matin nous effraie

     

    - Assumer sa peur c'est faire un pas vers la joie

     

    -Il est notable que la peur est finement liée à l'inconnu, mais non encore découvert.

    L'aventurier n'a pas de peur


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